Catégorie : News

Russian Tour

I played six concerts during La Folle Journée in Ekaterinbourg, it was such a great honor to play the famous Piano Concerto no.1 by Tchaikovsky, with Oural Philharmonic orchestra and their amazing music director Dmitry Liss.IMG_3383IMG_3384

Japan Culture Week in Iran

What an extraordinary experience I had through my first tour in Iran ! I played for three recitals in Teheran and Isfahan, both so beautiful, inspiring and exotic cities like a world of the thousand and one night. I was very touched to play for the Iranian audience so enthusiastic and attentive..

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Jury of an International Competition

January, 2015

My first experience as a jury for the 7th International Piano Competition « Giorgos Thymys » in Thessaloniki, Greece. What a difference to see the competition from the other side… I had an exciting moment to  listen to so many young, talented pianists.

Pianobleu : Pianiste à la une

Née à Nagoya au Japon, Etsuko Hirose a été initiée à la musique classique dès l’age de un mois par sa mère qui en écoutait du matin au soir! Pour ce qui la concerne la Méthode Suzuki qui expliquait que les bébés ont la capacité de développer leur sens musical grâce à une écoute quasi permanente de musique s’est avérée très efficace ! La pianiste désormais installée en France vient d’enregistrer un disque d’oeuvres de Mily Balakirev dont certaines réputées pour leur très grande difficulté technique !  Lire la suite

La relève : dix pianistes pour demain

Ils ont entre vingt-trois et trente et un ans et vous en entendrez encore parler. Si vous voyez leur nom dans les programmes de votre région, ne les manquez surtout pas : Kathia Buniatishvili, Guillaume Coppola, David Kadouch, Etsuko Hirosé, Adam Laloum, Geoffroy Couteau, Kotaro Fukuma, Alexander Drozdov, Romain Descharmes, Varduhi Yeritsyan.

Née à Nagoya, Etsuko Hirosé a commencé le piano à l’âge de trois ans. À quinze ans, elle arrive en France pour étudier avec Bruno Rigutto et Nicholas Angelich. Dotée d’une forte personnalité musicale, la jeune Japonaise se rend à Buenos Aires et décroche le premier prix du concours Martha Argerich. Plus que la récompense, c’est la rencontre avec son idole qui la marque pour toujours. Nelson Freire, qui était dans le jury, se souvient encore de son interprétation enflammée de la Sonate « Appassionata » de Beethoven. Elle est présentée à Alfred Brendel qui, émerveillé par son talent, la fait travailler quatre heures et demie durant. René Martin la prend sous son aile et sa carrière décolle en France. À trente et un ans, elle est devenue l’une des mascottes de La Folle Journée de Nantes. Remplaçant Nelson Freire au pied levé, elle a soulevé l’enthousiasme du public de Pau dans le Concerto pour piano de Schumann sous la direction de Fayçal Karoui. Un disque (à paraître chez Mirare) avec les concertos de Liszt et Schumann confirme ces affinités électives avec l’Orchestre de Pau-Pays de Béarn.

Olivier Bellamy / 28 janvier 2011 / Classica